Influenceurs : identifier les demandes de partenariat authentiques

‍Le premier coup d’œil

En général, les fausses demandes sont rarement en français et manquent de personnalisation. Si votre nom n’apparaît pas dans l’e-mail, si l’expéditeur n’a pas de signature, si les compliments sont génériques et n’ont rien à voir avec vos contenus, fuyez.

Qui est l’expéditeur ?

Vérifiez l'adresse mail de l'expéditeur et consultez LinkedIn pour confirmer que la personne travaille bien pour l'entreprise concernée. Si une agence vous contacte, assurez-vous qu'elle est reconnue, suivie sur les réseaux sociaux et possède un site internet sérieux.

Qui est la marque ?

Une fois l'authenticité confirmée, renseignez-vous sur la marque et ce qu'elle souhaite promouvoir. Assurez-vous qu'elle soit compatible avec votre ligne éditoriale et qu'elle n'utilise pas de pratiques telles que le greenwashing. Si la marque n'est pas mentionnée dans le mail, c'est un mauvais signe.

Que veut le client ?

Examinez également les détails tels que les attentes, un brief et un budget. Plus l’e-mail est complet, plus vous pouvez faire confiance à cette demande et à l'intérêt porté par la marque. Les demandes les plus sérieuses ont généralement des deadlines à respecter et déjà une idée de budget.

Si tout cela est bon, vous pouvez y aller, rédigez un e-mail soigné, envoyez votre kit média et commencez les négociations.

Et si l’opportunité ne vous intéresse pas, il est tout aussi important de répondre en expliquant à la marque ou à l’agence la raison. Ces derniers pourront éventuellement vous recontacter un jour pour d’autres projets qui colleront davantage à vos attentes.